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Nouvelle Calédonie (1/2) – 15 au 21 septembre

Week-end en bateau au large de Nouméa – 17 et 18 septembre:
Arrivés le Jeudi 15 au soir chez Cyril et Pauline (des amis de Lyon installés sur Nouméa
depuis un peu plus d’un an), nous passerons le vendredi à préparer notre itinéraire pour
la semaine, mettre à jour le site, faire quelques machines et récupérer nos matériel de kite chez DHL.
Au passage, nous aurons un premier aperçu de Nouméa et de ses jolies baies et plages
(baie des citrons, anse vata).

Samedi départ de bon matin pour un week-end en bateau au large de Nouméa : snorkeling au
phare Amédée, passage à côté de l’épave d’un bateau de marchandises puis direction
l’îlot Larégnère où nous passerons une soirée sympa  avec bien sûr apéro au coucher du
soleil accompagné d’un petit BBQ.

Au coucher du soleil sur l'îlot Larégnère, avec Cyril et Pauline

Guillaume avait prévenu Cyril : après la nuit en tente, réveil aux aurores pour aller pêcher !
Pas facile quand même, surtout en week-end et après une soirée rhum…
Guillaume sauvera la partie en pêchant un « snapper », qui fera bien l’affaire pour le déjeuner !

Bien bronzés et reposés, nous repartirons en milieu d’après-midi sur Nouméa (eh oui, il y en
a qui bossent le lendemain…).

Le long de la côte ouest –  19 au 21 septembre :

Après cette sortie en mer, nous décidons de louer une voiture pour partir à la découverte de
la Grande Terre (plus de 400km sur 50km) et optons pour un break afin de pouvoir stocker notre
matériel de kite et de camping.

Première halte : après-midi sur la plage de Ouano (120 km au nord de Nouméa), et petite session
de kite pour Guillaume tandis qu’Emilie lézarde sur la plage.

La tente plantée, ce sera camping sauvage au bord de l’eau. Une nuit en pointillés pour Emilie
qui se réveillera souvent à cause de nombreux bruissements autour de la tente ; on apprendra
le lendemain que cette plage regorge de rats et de gros tricots rayés (serpents rayés dorés et
noir, dont la morsure est extrêmement rare mais dangereuse)…sympa !

Une semaine de camping, souvent "sauvage" et en bord de plage !

On a réussi à trouver un bateau pour nous amener sur l’îlot Ténia, et on part donc le lendemain
matin pour une traversée de 30 min à partir du village de Bouraké. A peine arrivés sur ce petit
bout de terre émergé, nous repartons … en kite, pour quelques heures de navigation, chacun
dans son élément : Guillaume à 1km au large de l’îlot, avec 4 autres kiters, histoire de prendre
quelques vagues dans la passe, et Emilie dans le lagon, loin des requins du grand large…

Le vent tombe, les moustiques sortent et nous nous retrouvons seuls sur l’île, avec les 4 autres
kiters, pour passer un début de soirée bien sympa autour de quelques verres de rhum (et oui, encore…)!

Réveillés à 6h par les oiseaux et le soleil, nous nous offrons une baignade, un tour de l’îlot
et Guillaume se paiera même le luxe de faire quelques bords en kite avant que la Taxiboat
vienne nous chercher, en début d’après-midi.

Sur le retour, nous aurons la chance de croiser quelques dauphins qui se donneront en spectacle.

Revenus sur la terre ferme, nous poursuivons notre route vers le nord de l’île, et plantons la tente
au camping de la plage de Poé pour une soirée comme nous les apprécions bien :
un BBQ puis on regarde un film sur notre PC, sous la tente.

Avant de traverser l’île en direction de la côte est, nous passons par plusieurs des points de vue :
la baie des tortues et ces pins colonnaires qui se dressent au bord de l’eau, le « bonhomme de Bourail»,
rocher sculpté par la mer.

La baie des tortues et ses pins colonnaires

Nous découvrons la « forêt sèche » de l’intérieur des terres, mêlant fougères arborescentes et
pins et parcourus par de nombreuses rivières. Ici, les panneaux signalétiques n’indiquent
plus de villes ou de villages  mais de multiples tribus, vivant principalement d’agriculture.

On croise d’ailleurs, en bord de route, de nombreux petits étales en tôle, où sont disposés
quelques fleurs, fruits ou légumes (branches de bougainvilliers, oiseaux de paradis, papayes,
bananes, noix de coco, igname, manioc etc.). Ne cherchez pas de vendeur, il n’y en a
généralement pas : le prix est indiqué et une petite boîte est laissée pour y glisser vos pièces !

 

Galerie Photos :

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