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Laguna 69 (PER) – 4 août 2011
Laguna 69 -  »après la pluie… 
Départ à 6h, heure péruvienne (soit 6h20 environ), pour une nouvelle rando d’une journée.
Nous avons croisé beaucoup de français dans les environs et nous partons donc à 6, avec une
équipe 100% francophone (Evelyne, Vanina, Maureen et Geoffrey, notre guide pour la journée),
pour la Laguna 69.
3 heures de route et nous arrivons, sous une épaisse couche de nuages et la pluie, au point de
départ. En chemin, nous ferons une halte pour admirer les lagunas Llanganuco.
 
Pas très motivés, vue la pluie qui nous trempe, on part lentement mais dans la bonne humeur !

Départ sous la pluie

Pluie, quelques rayons de soleil le temps de sécher, neige…les 3h30 de montée ne laissent pas
entrevoir les sommets de la cordillière. Dommage !
 
 
…le beau temps ! »
Arrivés à la Laguna 69 (4620m) à 13h30, Geoffrey sort les sandwiches au légumes, fromage
ou encore aux rillettes (pour nous, du bonheur !!)…et…les premiers rayons de soleil perçent à travers
les nuages, révélant les couleurs du lac et découvrant les arêtes blanches du mont Chacraraju, qui se
jette dans le lac d’une hauteur de plus de 1000m.

Arrivée à la Laguna 69, avec le soleil.

 
La descente sera superbe : le Huascaran (6768m), sommet le plus haut du Pérou, est découvert
et nous nous arrêtons souvent pour admirer les sommets, quelques cascades, petites lagunes et
plaines ensoleillées que nous rencontrons.
 
Un peu de gastronomie locale : 
De retour à 20h sur Huaraz, nous filons directement au resto pour gôuter à quelques spécialités
régionales : la Pachamanca et le Cuy.

Au menu : Cuy, Pachamanca et Pisco Sour !

La Pachamanca (traduction littérale « pot de terre »), désigne une cuisson par évaporation qui se fait
dans une sorte de four situé sous le terre (comme un trou recouvert de pierres chaudes) et désigne
aussi un plat traditionnel cuit de cette manière et composé de divers légumes et viandes.
Le Cuy est tout simplement… un cochon dinde ! Il s’agit d’une viande noble que l’on cuisine
plutôt dans les Andes et pour de grandes occasions. Difficile à comparer avec les autres viandes, on pourrait
le rapprocher du lapin ; à noter qu’il n’y a quand même pas grand chose à manger…
 
Pour la dernière matinée sur Huaraz, Emilie filera au marché (son lieu de prédilection).
Nous repartons trop tôt à notre goût de Huaraz : on aurait facilement pu y rester 10j pour faire le treck du
Santa Cruz ou visiter les ruines de Chavin de Huantar. Mais nous avons mieux à faire : 2 amis, Anne et
Adrien, débarquent dans 24h sur Arequipa (à 1500km plus au Sud) et nous comptons bien aller les
chercher à l’aéroport !!
 
Galerie photos :

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